Le déni est souvent un sous-produit de l’abus d’alcool ou d’autres drogues. Au mieux, le déni est un moyen pratique de protéger l’abus de substances, mais au pire, il peut entraîner des conséquences négatives sur la santé.La consommation d’alcool est associée à des conséquences à court et à long terme sur la santé. Bien que la maladie et la maladie puissent se manifester, il existe une foule de problèmes de santé qui peuvent résulter d’accidents liés à l’alcool ou d’attaques violentes.

Malheureusement, l’alcool a la capacité de séparer rapidement les gens de leurs intentions. Par exemple, bien que certaines personnes puissent boire simplement pour socialiser, une augmentation de leur taux d’alcoolémie peut entraîner de nombreuses conséquences imprévues.

Dans le cas de buveurs prolongés, tels que les personnes souffrant de troubles de la consommation d’alcool, l’abus d’alcool peut provoquer le développement de certaines maladies. Plus les Américains sont instruits sur l’impact physique de l’alcool, plus ils ont l’occasion de prendre des décisions intelligentes sur la consommation d’alcool. Si la dépendance est en jeu, la consommation d’alcool n’est pas une question de volonté; dans ces cas, un traitement contre l’abus d’alcool est nécessaire.

Bien que le BAC soit une mesure concluante de la quantité d’alcool dans son corps, il s’agit d’une idée abstraite. Pour aider à clarifier le taux d’alcoolémie, considérez comment il se traduit par le nombre de boissons suivant (estimé) par sexe:

• Le taux d’alcoolémie de 0,08% équivaut à environ 3 à 4 boissons chez les hommes pesant 160 livres, 4 boissons si 180 à 200 livres et 5 boissons si 240 livres.
• BAC de 0,13-0.15 pour cent équivaut à environ 6 boissons chez les hommes qui pèsent 160 livres, 6-7 boissons si 180 livres, 7-8 boissons si 200 livres et 8-9 boissons si 240 livres.
• Le taux d’alcoolémie de 0,08% équivaut à environ 2 verres chez les femmes pesant 120 livres, 2 à 3 verres si 160 livres et 3 verres si 180 livres.
• Le taux d’alcoolémie de 0,13 à 0,15% équivaut à environ 4 boissons chez les femmes pesant 120 livres, 4 à 5 boissons si 140 livres, 5 boissons si 160 livres et 5 à 6 boissons si 180 livres.

En termes de BAC, un taux de 0,30% ou plus est une zone dangereuse grave, et la mort peut même en résulter. Les hommes qui pèsent au moins plus de 140 livres peuvent généralement boire jusqu’à 10 verres avant d’atteindre ce point dangereux. Selon le poids d’une femme, six boissons peuvent présenter un danger majeur pour la vie. Par exemple, une femme de 90 livres peut atteindre un taux d’alcoolémie de 0,30% à la barre des six verres, tandis qu’une femme de 120 livres n’aurait besoin que de deux verres de plus pour atteindre cet état critique.L’échantillon d’information sur le taux d’alcoolémie fourni démontre que la déficience physique ne nécessite pas un nombre élevé de boissons (si vous pensez à la quantité de boisson qui peut survenir, par exemple, dans un cadre de fête). De plus, les risques pour la santé associés à une consommation continue d’alcool sur une période de temps limitée (comme une fête) peuvent augmenter considérablement boire à boire.

Qu’Est-Ce Que Le Trouble Lié À La Consommation D’Alcool?

Des chercheurs, des psychiatres, des cliniciens médicaux, des thérapeutes et d’autres professionnels de la toxicomanie s’appuient sur le Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux-5 (DSM V) pour diagnostiquer les troubles de santé mentale. L’abus d’alcool est appelé « trouble de la consommation d’alcool” et subdivisé en classifications légères, modérées et sévères. Le terme « alcoolisme » est principalement familier et résonne fréquemment des préjugés et des stigmates d’antan. La compréhension médicale de la consommation problématique d’alcool a considérablement progressé; aujourd’hui, les cliniciens comprennent que la maladie est un trouble de santé mentale et la traitent de manière aussi neutre que le diabète ou l’hypertension artérielle.À des fins diagnostiques, le DSM-5 fournit aux cliniciens 11 facteurs potentiels impliqués dans la consommation d’alcool. Au cours d’une période donnée de 12 mois, si une personne présente au moins deux des 11 facteurs, elle est considérée comme ayant un trouble lié à la consommation d’alcool. Si 2 à 3 facteurs sont présents, la personne est considérée comme ayant un trouble de consommation d’alcool de qualité légère. Si 4 à 5 facteurs sont présents, le trouble est classé modéré. Dans le cas où six symptômes ou plus se manifestent, la personne est réputée avoir un trouble grave de consommation d’alcool.Voici un échantillon sélectionné des critères utilisés dans le DSM-5 pour le trouble lié à la consommation d’alcool. Au cours de la dernière année, avez-vous:

1. Vous aviez envie d’une boisson si aiguë qu’il était difficile de penser à autre chose?
2. A continué à consommer de l’alcool malgré le fait qu’il était conscient que la consommation d’alcool causait de l’anxiété ou de la dépression, compliquait un problème de santé ou entraînait une panne d’électricité?
3. A constaté qu’à plus d’une occasion, la consommation d’alcool a causé l’exposition à une activité dangereuse, telle que conduire, nager, utiliser des machines, marcher dans une zone dangereuse ou avoir des relations sexuelles non protégées?
4. S’est rendu compte qu’il fallait plus d’alcool qu’auparavant pour obtenir la sensation d’intoxication souhaitée?

Les personnes qui craignent d’avoir un trouble lié à la consommation d’alcool peuvent considérer leurs expériences spécifiques en fonction des critères du DSM-5. Bien qu’un clinicien qualifié, un thérapeute ou un autre spécialiste de la toxicomanie devrait poser un diagnostic, il peut être utile de prendre en compte ces critères. Il est important de garder à l’esprit que les troubles liés à la consommation d’alcool peuvent être traités avec des services de réadaptation efficaces. Un diagnostic est une première étape importante dans la récupération.

Consommation excessive d’alcool et ses effets secondaires

Une personne qui boit abondamment peut ou non avoir un trouble de consommation d’alcool. Selon les Centers for Disease Control and Prevention, la consommation excessive d’alcool est définie comme une consommation excessive d’alcool, généralement pendant une période confinée.La consommation excessive d’alcool est une pratique courante dans la culture américaine. Environ 75% de l’alcool que les adultes américains consomment est consommé par consommation excessive d’alcool. Les Américains de moins de 21 ans sont particulièrement enclins à ce comportement. Environ 90% de l’alcool consommé par les jeunes individus provient de la consommation excessive d’alcool. Malheureusement, l’alcoolémie et la conduite sous influence sont des activités étroitement associées.La consommation excessive d’alcool a des effets à court et à long terme. Les effets à court terme de la consommation excessive d’alcool comprennent:

La consommation excessive d’alcool augmente tellement le taux d’alcoolémie qu’une personne peut souffrir d’intoxication alcoolique. Les symptômes associés à l’intoxication alcoolique comprennent, sans s’y limiter, une respiration irrégulière ou lente, une température corporelle basse, une pâleur et des convulsions. Des soins médicaux doivent être immédiatement demandés car l’intoxication alcoolique peut rapidement augmenter en intensité. Dans certains cas, une personne peut tomber dans le coma.Pour certaines personnes qui boivent de façon excessive, il s’agit davantage d’une activité spécifique à une fête que d’une pratique continue. Cependant, certaines personnes boivent de manière répétée et ce comportement peut avoir des effets négatifs à long terme sur la santé. Voici quelques effets secondaires à long terme associés à une consommation excessive répétée:

• Alcoolisme: Si une consommation excessive se produit fréquemment, une dépendance physique à l’alcool peut se développer. La dépendance physique (y compris une tolérance et un sevrage accrus en cas d’arrêt de la consommation d’alcool) peut exister sans formation de dépendance, mais avec la poursuite de la consommation d’alcool, une dépendance psychologique à l’alcool est susceptible de se développer.
• Lésions cérébrales: Malheureusement, si les individus consomment un volume important d’alcool sur une période prolongée, ils peuvent provoquer des changements structurels dans le cerveau, en particulier les complexes associés à l’apprentissage et à la prise de décision. Le cerveau des adolescents, en particulier le cerveau antérieur, est particulièrement sensible aux dommages causés par une consommation excessive d’alcool. Si le cerveau antérieur est endommagé, des études montrent que l’individu peut avoir un contrôle plus faible sur sa capacité à arrêter de boire à l’avenir.
• Dommages au foie: Il est bien établi que l’alcool endommage le foie et perturbe son bon fonctionnement et sa capacité à se réparer. Certaines personnes peuvent développer des lésions hépatiques induites par l’alcool à la suite d’une consommation chronique d’alcool ou d’une consommation excessive d’alcool.
• Maladie cardiovasculaire: La présence d’alcool et des quantités croissantes de BAC dans le corps provoquent un stress sur le cœur. Au fil du temps, les personnes qui boivent trop peuvent développer une pression artérielle élevée et / ou subir une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral.
• Dysfonction sexuelle: Chez les hommes, des études de recherche et des rapports de patients montrent que la consommation excessive d’alcool continue peut entraîner une dysfonction érectile.

Bien que les effets à court et à long terme de la consommation excessive d’alcool incitent suffisamment à éviter cette activité, il convient également de tenir compte de l’ensemble des conséquences sociales, personnelles et juridiques qui peuvent en découler. Par exemple, selon le Conseil national de l’alcoolisme et de la toxicomanie, l’alcool est un facteur contributif dans 40% de tous les crimes violents. Selon les rapports des victimes, l’alcool a joué un rôle dans 37% des agressions sexuelles, 27% des voies de fait graves, 15 % des vols et 25 % des voies de fait simples.

Alcool et problèmes de santé

Il a été démontré que certaines maladies et affections chroniques sont liées de manière causale à la consommation d’alcool. Certaines conditions sont 100% attribuables à la consommation d’alcool. Selon l’Institut national sur l’abus d’alcool et l’alcoolisme, voici quelques-unes des conditions que la consommation d’alcool peut provoquer directement:

• Syndrome d’alcoolisation fœtale
• Hépatite alcoolique
• Gastrite alcoolique
• Cardiomyopathie alcoolique
• Maladie hépatique alcoolique
• Pancréatite aiguë induite par l’alcool
• Cirrhose alcoolique du foie
• Fibrose alcoolique et sclérose du foie
• Stéatose hépatique alcoolique
• Insuffisance hépatique alcoolique

Syndrome d’alcoolisation fœtale

est cité comme cause de plus de 200 maladies et affections, ce qui signifie que ces résultats pour la santé peuvent se développer sans la présence d’alcool, mais il existe toujours une association avec l’alcool. En général, ces maladies et affections sont liées au volume total d’alcool que les personnes atteintes ont consommé au cours de leur vie. Ce qui suit est une liste partielle de certaines des maladies et conditions associées à l’abus d’alcool:

• Épilepsie
• Cancer de la bouche
• Diabète
• Trouble dépressif unipolaire
• Cardiopathie hypertensive
• Accident vasculaire cérébral ischémique
• Cancer de l’ovaire
• Cancer de la prostate
• Cancer du sein

Une consommation excessive d’alcool chronique est également associée à des affections bien connues telles que l’anémie, la démence, les convulsions et la goutte.

La consommation d’alcool peut exacerber une variété de conditions auxquelles elle n’est ni un composant ni liée par hasard. Par exemple, l’alcool peut provoquer une poussée de maladies courantes telles que le syndrome du côlon irritable, le syndrome des jambes sans repos et l’anxiété. Certaines personnes souffrent d’une allergie à l’alcool et peuvent développer une éruption cutanée et un nez bouché immédiatement après la consommation. L’alcool n’est pas une substance sans réaction.

Un moyen principal pour les individus d’éviter les effets secondaires indésirables est de comprendre les diverses conditions ou réactions pouvant survenir en cas d’utilisation légère, modérée ou intensive.

Jeux à boire les plus nocifs